Réussir à avaler une bouchée est un exploit, replonger la fourchette dans l'assiette est une hérésie. Par où commencer...
J'ai commandé le poulet "du chef" je ne voudrais connaître le poulet "pas du chef". Entre morceaux de peau, bout de gras et autres objets non identifiés, il n'y avait pas grand-chose de comestible dans l'assiette.
Acte II, le porc baignait dans de l'acide que le restaurant ose nommer "sauce caramélisée". La viande était tendre comme Philippe Etchebest quand un commis rate son fond de veau.
Les gyozas et les nems ne méritant pas d'être mentionnés, nous pouvons tout de suite passer à la partie suivante: la conclusion.
Seul point positif, on a eu un heureux à la maison: la poubelle. L'objectif du repas fut validé: nous n'avions plus faim.